Mythe et légende
Cannibalisme (Histoire vrai)
Il y’a fort longtemps, durent l’apogée de la traite négrière on raconte que plusieurs tribus se faisaient amener de force ; ceux qui tentaient de s’enfuir se faisaient fouetté jusqu’à ce qu’ils s’évanouissent et d’autres se faisaient exécuté devant tout le monde pour donner une leçon a ceux qui tenteront de faire pareil.
Par ailleurs d’autre tribu, disparaissent peu à peu. Pendant ce temps les villages Topoke vivaient paisiblement jusqu’à ce que l’homme blanc arrivent et commence à pourchasser tel des bétails le peuple Topokes. L’homme blanc étaient équipés des bâtons crashant du feu (Armes à feu) et de l’acier en guise d’arme. Alors que le peuple Topoke armée juste de leur courage et quelque armes primitives s’organisent avec d’autres villages envoisinant pour placer un contre et faire partir l’homme blanc de la terre de ses ancêtres.
Les Topokes étaient réputé pour leur incroyable habilité en chasse cependant, l’arsenal du Topoke ancien n’était pas à la hauteur de l’envahisseur blanc, lances en bois, arc a flèche, lance pierre tous des armes de la préhistoire. Avec le peu d’arme à leur disposition ils décideraient alors de mener la guerre contre l’homme blanc. Sans grande surprise à la fin des hostilités les indigènes Topoke gisent dans une mare de sang sans président.
Durant une certaine période, une véritable chasse à l’homme était lancée en vue d’acquérir de la chair humaine et plus précisément de la chair à la peau blanche dans le but assouvir leur vengeance et de calmer leur colleur. Cela provoqua une peur intense chez l’envahisseur, aucun blanc n’osait s’aventurier dans les régions occuper par des Topoke.
Avec la conviction de bien faire pour permettre la survie de son peuple, l’homme est apte au pire de sacrifice même si le prix à payer est son humanité ; La vie, la mort n’avait plus grand importance seul la vengeance était le chef dans les yeux des hommes qui ont tout perdu.
Et là naquit la légende ‘’d’homme manger des blancs’’ et même de nos jours cette légende persiste dans les mémoires d’autres tribut de la RDC.